Les mouvements associatifs féminins de Kisangani sollicitent des autorités un fond pour la prise en charge des victimes de violence sexuelle

Dans une campagne de sensibilisation sur la violence sexuelle faite à la femme, les mouvements associatifs féminins ont dénoncé mercredi 15 mars 2017 des cas de viol répertorié dans la province de la Tshopo. Selon les différents intervenants, il est temps que le pouvoir public se saisisse de tous ces cas pour que la situation change positivement, a affirmé  la coordonnatrice du centre d’éducation et de recherche pour le droit de la femme. Dans son adresse à l’assistance, le major Irène Kakola mwamba, juge du tribunal militaire de garnison de Kisangani, il faut que le gouvernement à créer un fond spécial pour la prise en charge de cas de violence sexuelle.

Reportage de la radio RTK5

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